Chères collaboratrices, chers collaborateurs,
Voilà une année à présent que le COVID-19 a bousculé nos habitudes pour nous projeter dans un quotidien qui aurait été inimaginable jusqu’à la mi-mars 2020. Et qui est devenu normal.
«Avant», l’on pouvait se croiser dans les corridors, échanger quelques mots spontanément, se donner une poignée de main – ce geste si simple devenu si redouté – se glisser dans un ascenseur «bondé» de cinq occupants, et simplement voir des visages dans leur intégralité.
L’OFS est bien vide depuis tous ces mois. Les rares réunions qui étaient encore possibles intramuros ont été converties en vidéoconférences et nos discussions se frayent un chemin à travers microphones, oreillettes et masques audio.
Fort heureusement, nous restons soudés et connectés: Soudés d’abord dans notre mission de production statistique que nous poursuivons en trouvant des solutions aux problèmes occasionnés par les circonstances en vigueur. Connectés ensuite grâce notamment au monde virtuel qui nous permet de franchir les barrières spatiales pour nous retrouver sur des plateformes communes.
«Infos» en est une, et ce premier numéro 2021 dirige les projecteurs dans différentes directions. D’abord, au sens technique du terme, puisque vous entrerez dans les coulisses de la production de nos vidéos: cette manière de communiquer et de présenter nos résultats statistiques est plus que jamais utile et enrichissante. Qui se cache derrière la caméra? Comment germe l’idée d’une série de films? Quels sont les moyens disponibles et les circonstances de réalisation?
Nous franchirons également les portes des univers de six jeunes en formation: comment vit-on le télétravail quand la présence d’une personne de référence est primordiale pour avancer dans son apprentissage? Que l’on se voit soudain coupé des premiers liens professionnels qui se tissaient?
Et puis, nous laisserons place à un peu d’exotisme en nous familiarisant avec le Pecha Kucha dont les curieuses sonorités ont nourri l’imagination des nouveaux collaborateurs et nouvelles collaboratrices lors de leur cours d’introduction.
Certaines tâches nécessitent toujours la présence physique des collègues dans notre bâtiment. C’est le cas notamment du centre d’impression qui se voit muni d’une toute nouvelle imprimante parfaitement adaptée au «print on demand», notre démarche depuis la fin de la décennie achevée.
Voici quelques projets dont la lecture vous attend dans la présente publication; il y en a d’autres! La Compers, elle aussi, vous invite à un tour d’horizon de ses engagements passés et futurs.
Retrouvons-nous dans les récits de «Infos»: la distanciation physique ne doit pas devenir sociale, puisque nous pouvons rester en lien.
Bonne lecture!